OK : Je suis peut-être un peu attardé mental de croire que le mot "JUSTICE", sur l'écusson de la SÛRETÉ DU QUÉBEC, devrait faire référence à la même "JUSTICE" que le mot "JUSTICE" dans la LOI FONDAMENTALE DU QUÉBEC, quand il y est écrit, dans le préambule :
- "... la reconnaissance des droits et libertés dont ils sont titulaires constituent le fondement de la justice, de la liberté et de la paix"...
ET : Je suis peut-être un peu attardé mental d'aussi croire que le mot "PAIX", dans l'énoncé de la mission sur le site web de la SÛRETÉ DU QUÉBEC, où c'est écrit :
- "maintenir la paix et l’ordre public",
devrait faire référence à la même "PAIX" que le mot "PAIX" dans le préambule de la LOI FONDAMENTALE DU QUÉBEC, quand il y est écrit :
- "... la reconnaissance des droits et libertés dont ils sont titulaires constituent le fondement de la justice, de la liberté et de la paix"...
Mais il semble que,
si je dois me fier au message qu'il a laissé sur la boite vocale au numéro de téléphone de la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT,
selon le SERGENT MARC TESSIER de la SÛRETÉ DU QUÉBEC, la RECONNAISSANCE des DROITS FONDAMENTAUX, dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX - et c'est pas MOI qui invente ça, c'est écrit dans la LOI FONDAMENTALE du Québec ! - n'intéresse PAS la SÛRETÉ DU QUÉBEC et qu'il pourrait même être «INUTILE» de contacter la SÛRETÉ DU QUÉBEC pour ASSURER le RESPECT de ces DROITS.
Alors,
parce que je suis peut-être un peu attardé mental de croire que tout ça pourrait être INACCEPTABLE et/ou OFFENSANT, mais que je ne suis certainement PAS, pour autant, un pauvre zombie qui va se contenter de croire la parole d'un agent qui semble avoir déjà été accusé en déontologie, quand il est question d'un sujet aussi sérieux que le RESPECT des DROITS FONDAMENTAUX, dont ceux qui doivent protéger les hommes et les femmes honnêtes des parasites qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour abuser des hommes et des femmes honnêtes,
Des confirmations de ce que cet agent semblait prétendre par le message vocal qu'il a laissé ont été demandées.
Et j'imagine que si je devais n'être qu'un genre d'attardé mental qui ne sait pas réfléchir intelligemment, ils ne devraient pas avoir de problème à me le faire savoir clairement, n'est-ce pas ?
Administration
(Adresse)
(Adresse)
Québec, le 27 avril 2017
TOUS DROITS RÉSERVÉS - SANS PRÉJUDICE
SÛRETÉ DU QUÉBEC - CRIMES ÉCONOMIQUES - ATT : MONSIEUR MARC TESSIER
COURRIER RECOMMANDÉ - POSTES CANADA RN154845635CA
1050, rue des Rocailles, Québec QC G2K0H3
COMMISSAIRE À LA DÉONTOLOGIE POLICIÈRE
COURRIER RECOMMANDÉ - POSTES CANADA RN154845618CA
2535, boulevard Laurier, Bureau 1.06 Québec QC G1V4M3
Objet : DEMANDE DE CONFIRMATION
INTERPRÉTATION :
Les définitions qui suivent s’appliquent à cette communication.
«je» et/ou «j'» : incluent MOI, l'HOMME et excluent la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE]
«mon» et/ou «ma» et/ou «mes» et/ou «me» et/ou «m'» : À MOI, l'HOMME et non PAS à la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE].
Bonjour Monsieur Tessier,
VOUS avez laissé un message sur la boite vocale au numéro de téléphone 418 XXX XXXX, le vendredi 21 avril 2017 à ou aux environs de 9h05am.
VOUS avez adressé ce message à «MONSIEUR [PRÉNOM NOMDEFAMILLE]».
JE NE COMPREND PAS.
Ce nom est celui de la PERSONNE que l'état a créée, sans mon CONSENTEMENT, 36 jours après que MOI L'HOMME ai commencé à vivre.
Ce nom est celui de la PERSONNE dont MOI L'HOMME suis en POSSESSION.
Ce nom est, SURTOUT, celui de la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT, tel que décrété à l'article 1 de la Charte des droits et libertés de la personne, la LOI FONDAMENTALE au Québec, celle que VOTRE code de déontologie prévoit que VOUS devez RESPECTER et/ou FAIRE RESPECTER.
En tout respect, DITES-MOI, n'ai-je PAS été clair, par les communications que la SÛRETÉ DU QUÉBEC a reçues, quant au fait que si ce nom est celui de la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI l'HOMME ai DROIT, je SOUHAITE que ce DROIT soit RECONNU et RESPECTÉ et je SOUHAITE que nul ne s'adresse à MOI en utilisant le nom de cette PERSONNE, parce que je ne suis PAS cette PERSONNE et parce que je ne suis PAS la SÛRETÉ pour cette PERSONNE ?
Cette PERSONNE a DÉJÀ une SÛRETÉ à laquelle MOI L'HOMME ai DROIT dont la RECONNAISSANCE doit avoir préséance sur TOUTE AUTRE LOI. C'est écrit dans la Charte des droits et libertés de la personne, la LOI FONDAMENTALE au Québec.
Et en tout respect, DITES-MOI, n'ai-je PAS aussi été clair, par ces communications, quant au fait que je SOUHAITE ne PAS être VOUVOYÉ - je ne suis pas au pluriel - ni que quiconque ne s'adresse à MOI en utilisant le terme «MONSIEUR» ?
Je ne suis pas le SUBORDONNÉ de qui que ce soit et je n'accepte PAS les COURTOISIES.
SACHEZ qu'il serait INACCEPTABLE que quiconque refuse de RECONNAÎTRE que je suis un HOMME qui a DROIT à la SÛRETÉ de SA PERSONNE et/ou que quiconque tente, de quelque façon que ce soit, de m'attribuer la PERSONNALITÉ, en FRAUDE des DROITS FONDAMENTAUX qui ont été décrétés par Sa Majesté, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale, dans la loi qui a préséance sur toutes les autres, au Québec.
VOUS SAVEZ que la raison pour laquelle la SÛRETÉ DU QUÉBEC a reçu les communications
COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262608CA
COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262571CA
COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN154845771CA
COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN154845737CA
est PRÉCISÉMENT que je SOUHAITE que mon DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de cette PERSONNE soit RECONNU et RESPECTÉ, parce qu’il semble que le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX repose sur la RECONNAISSANCE de ce DROIT.
Comme VOUS le savez, j'ai effectivement toutes les bonnes raisons de croire que des parasites qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour abuser des hommes et des femmes honêtes REFUSENT de RECONNAITRE et/ou RESPECTER ce DROIT.
J'ai aussi toutes les bonnes raisons de croire que des parasites qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour abuser des hommes et des femmes honêtes m'ont EFFECTIVEMENT VIOLÉ ce DROIT FONDAMENTAL.
Par VOTRE message, VOUS sembliez affirmer qu'aucune enquête pour fraude ne sera menée par la SÛRETÉ DU QUÉBEC, suite aux communications que VOUS avez reçues.
DITES-MOI, est-ce VRAIMENT la position de la SÛRETÉ DU QUÉBEC face à des VIOLATIONS de DROITS FONDAMENTAUX commises par des FIDUCIAIRES PUBLICS et/ou des AGENTS mandatés par eux ?
Si OUI, je VOUS demanderais de transmettre, de façon FORMELLE, une déclaration écrite et signée à cet effet et de préciser quelles seraient les raisons valables qui pourraient motiver et/ou justifier une telle décision.
ET DITES-MOI, est-ce que, selon VOUS, une FRAUDE et/ou une VIOLATION des DROITS dont la RECONNAISSANCE doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX ne serait pas une FRAUDE suffisamment grave pour que la SÛRETÉ DU QUÉBEC fasse ce que le public semble être en droit de s'attendre qu'elle fasse ???
ET DITES-MOI, est-ce que cela signifierait aussi qu'aucune enquête ne pourrait être menée par la SÛRETÉ DU QUÉBEC
- pour ABUS DE CONFIANCE PAR UN FONCTIONNAIRE PUBLIC (Code criminel du Canada, article 122)
- et/ou pour FAIT DE CACHER FRAUDULEUSEMENT (Code criminel du Canada, article 341)
- et/ou pour EMPLOYÉ PUBLIC QUI REFUSE DE REMETTRE DES BIENS (Code criminel du Canada, article 337)
- et/ou pour VOL PAR UNE PERSONNE TENUE DE RENDRE COMPTE (Code criminel du Canada, article 330)
- et/ou pour DESTRUCTION DE TITRES (Code criminel du Canada, article 340)
- et/ou pour NÉGLIGEANCE CRIMINELLE (Code criminel du Canada, article 219)
- et/ou pour RÉDUCTION EN ESCLAVAGE (Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre, article 4 (1) b)
- et/ou pour toute autre accusation qui pourrait être reliée avec les actions et/ou inactions, et/ou avec le fait que des fiduciaires publics et/ou des agents mandatés par l'état et/ou d'autres personnes et/ou agents, semblent avoir VOLONTAIRE REFUSÉ de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER les DROITS FONDAMENTAUX, principalement le droit de tout être humain à la SÛRETÉ de sa PERSONNE, dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX ?
ET si cela devait ne PAS être la position de la SÛRETÉ DU QUÉBEC face à des VIOLATIONS de DROITS FONDAMENTAUX, DITES-MOI, qu'est-ce que la SÛRETÉ DU QUÉBEC entend faire à ce sujet ?
Par ce message, VOUS sembliez aussi affirmer qu'il pourrait être «inutile» de contacter la SÛRETÉ DU QUÉBEC à ce sujet.
DITES-MOI, est-ce VRAIMENT la position de la SÛRETÉ DU QUÉBEC face à des VIOLATIONS de DROITS FONDAMENTAUX ?
Si OUI, je VOUS demanderais de transmettre, de façon FORMELLE, une déclaration écrite et signée à cet effet et de préciser quelles seraient les raisons valables qui pourraient motiver et/ou justifier une telle position.
VOUS COMPRENEZ sans doute que si la SÛRETÉ DU QUÉBEC devait EFFECTIVEMENT REFUSER d'ASSURER la RECONNAISSANCE et le RESPECT des DROITS dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer, au Québec, le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX, cela pourrait être plutôt troublant et/ou OFFENSANT.
JE SOUHAITERAIS donc, si cela devait effectivement être la position et/ou la décision de la SÛRETÉ DU QUÉBEC suite aux DEMANDES et/ou communications qu'elle a reçues, que VOUS transmettiez une déclaration ÉCRITE ET SIGNÉE à l'effet que la SÛRETÉ DU QUÉBEC pourrait refuser d'ASSURER et/ou PRÉSERVER la RECONNAISSANCE et/ou le RESPECT des DROITS FONDAMENTAUX qui ont été décrétés par Sa Majesté, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale, dans la Charte des droits et libertés de la personne, et que VOUS expliquiez les RAISONS précises qui pourraient motiver une telle décision.
ET JE SOUHAITERAIS évidemment savoir,
si la SÛRETÉ DU QUÉBEC devait effectivement refuser d'enquêter et/ou de prendre des actions pour ASSURER et/ou PRÉSERVER la RECONNAISSANCE et/ou le RESPECT des DROITS FONDAMENTAUX, dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX,
selon VOUS, quelles ressources et/ou organismes et/ou agences et/ou personnes et/ou souverain devraient être contactés et/ou mandatés et/ou responsables pour ASSURER la RECONNAISSANCE et/ou le RESPECT de ces DROITS FONDAMENTAUX ?
ET
Si la SÛRETÉ DU QUÉBEC devait effectivement refuser d'intervenir,
selon VOUS, quelles actions devraient être prises contre des parties qui auraient REFUSÉ de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER ces DROITS FONDAMENTAUX et/ou qui auraient IGNORÉ et/ou VIOLÉ ces DROITS FONDAMENTAUX et/ou la Charte et/ou les DÉCRETS de Sa Majesté ?
N'êtes-VOUS PAS d'accord qu'il semble raisonnable qu’il devrait être une PRIORITÉ pour la SÛRETÉ DU QUÉBEC d'ASSURER la RECONNAISSANCE et le RESPECT des DROITS FONDAMENTAUX dont la RECONNAISSANCE doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX, tel que décrété par Sa Majesté, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale ???
Et n'êtes-VOUS PAS d'accord qu'un REFUS d'ASSURER la RECONNAISSANCE et le RESPECT des DROITS FONDAMENTAUX dont la RECONNAISSANCE doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX, pourrait être interprété comme un manquement envers la JUSTICE et la LIBERTÉ et la PAIX ???
Alternativement, sachez que si la Charte devait n'être qu'une farce et/ou si la Charte devait ne pas être effective et/ou en vigueur, et/ou si ce qui est écrit dans la Charte devait ne PAS être VRAI et/ou si les hommes et les femmes honnêtes devions être ESCLAVES des parasites qui utilisent l’état et/ou la dette publique pour abuser des hommes et des femmes honnêtes, une simple déclaration ÉCRITE ET SIGNÉE, à cet effet, serait suffisante pour que je cesse de vouloir faire RECONNAÎTRE et RESPECTER les DROITS qui y ont, semble-t-il, été décrétés par Sa Majesté, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale.
Je SOUHAITE VOUS rappeler que si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que j'étais un «employé» et/ou un «agent» et/ou un «officier» et/ou «Sa Majesté» et/ou une «organisation» et/ou la «PERSONNE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE]» et/ou un «esclave», ce serait une FAUTE, veuillez SVP me pardonner.
Je SOUHAITE également VOUS rappeler que jeSOUHAITE que ni VOUS ni PERSONNE ne VOUS adressiez à MOI en utilisant le terme «Monsieur», je ne suis PAS le «Monsieur» de quiconque, je ne suis PAS VOTRE subordonné, je ne suis PAS un agent de l'état ; ni en utilisant les termes «vous», «votre» et/ou «vos», je ne suis PAS au pluriel, je ne suis PAS une organisation, je ne suis PAS la PERSONNE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE], je ne suis PAS la SÛRETÉ de et/ou pour cette PERSONNE.
Je n’accepte PAS les courtoisies.
Je SOUHAITE également que VOUS ne VOUS adressiez PAS à MOI en utilisant quelque nom dérivé de quelque document publique.
VOUS pouvez utiliser «Will» et/ou «L'homme qui a droit à la sûreté de la personne nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE]» pour parler à MOI.
VOUS COMPRENEZ sans doute que si quiconque devait tenter de me faire donner à quiconque des raisons de croire que je pourrais ÊTRE une PERSONNE et/ou une ENTITÉ LÉGALE et/ou la SÛRETÉ pour cette PERSONNE, cela pourrait ressembler à de la mauvaise foi et/ou à une supercherie et/ou à une conspiration et/ou une fraude de mes DROITS et cela serait INACCEPTABLE.
Il est donc TRÈS IMPORTANT d'éviter toute présomption et/ou confusion à ce sujet.
Confiant que VOUS COMPRENEZ l'importance de cette demande et que VOUS fournirez des réponses claires, complètes et précises aux questions qui VOUS ont été adressées,
Avec respect, honneur, dignité et intégrité,
Par : __(gribouillage)_____
L'homme qui a droit à la SÛRETÉ de la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE], dont le numéro d'inscription est 119XX04XXXXXX
TOUS DROITS RÉSERVÉS