Le printemps nous montre ses bourgeons, moment idéal selon Ours pour se promener et découvrir de nouvelles contrées. D'un pas décidé, Ours à trotté pendant quelques centaines de kilomètres pour rejoindre l'océan Atlantique. Sa petite bourgade d'accueil, du doux nom "Le Croisic", se situe en Loire-Atlantique, et réserve plein de surprises pour les yeux. "Vous devriez voir ce que je vois".
Le Croisic
Port Lin
La plage de Port Lin était autrefois utilisée par les chaloupes sardinières pour débarquer la pêche lorsque la marée ne le permettait pas dans le port.
La façade rocailleuse laisse s'engouffrer ici et là les vagues, leurs créant de véritables petits circuits pour nous parvenir. Un spectacle magnifique.
Un enfant du pays
Hervé Riel, 1654-1729.
Pêcheur local né sur ce p'tit bout de terre, il est connu pour avoir permit à la flotte française, en grande difficulté, d'échapper aux vaisseaux néerlandais et anglais lors de la bataille de la Hougue en 1692, et celà par sa grande familiarité avec les littoraux rocheux.
le phare de la jetée du tréhie
La jetée du Tréhie, construite entre 1839 et 1844 et longue de 858 mètres, permet de protéger l'entrée du port et atténue les courants violents.
Un monstre de granite sur lequel les pêcheurs s'adonnent à la pratique. La jetée du Tréhie et un véritable petit joyaux du Croisic.
Des dénivelés qui offrent des surprises
Près du port, quelques points de vue sont à apprécier. Ici, un ponton qui fait les joies de la pêche à l'éperlan.
Fin du teasing
Hop hop hop, on va finir plus ou moins là dessus, l'idéal reste de découvrir par soi même ! Le Croisic regorge de p'tits coins de poésies mais peut devenir à l'approche des beaux jours un peu trop touristique. Faut dire, la bourgade possède un TGV, un océarium réputé, un ciné, un terrain de golf au bord de mer... Les charmes de la ville se révéleront donc d'avantage au printemps ou à l'automne. Et puis, et pourquoi pas en hiver ? Pour le plaisir des yeux, quelques photos en vrac, et ce sera tout 🐻